Maison donnée par Henry Frugès à Henri Vrinat, ingénieur du chantier, d’où le surnom.
Un deuxième exemplaire était prévu sur la parcelle située entre le N° 36 et le N° 40 de l’avenue H. Frugès (parcelle occupée par la maison contemporaine N° 27 rue Le Corbusier).
- rez-de-chaussée non habitable comportant un abri, les services, un garage ouvert,
- toute la fonction d’habitation tient au premier étage,
- la toiture-terrasse au second niveau est protégée partiellement par un auvent central.
- toute la fonction de circulation verticale est externe. De plus, la volée d’escalier donnant
accès au premier étage est désolidarisée du bâtiment, augmentant encore l’effet
de vide du rez-de-chaussée.
- Le sol se libère de la construction.
Transformations constatées :
- Cette maison était fortement remodelée au goût de l’époque par M. Vrinat,
- Restaurée en 1992 par son actuel propriétaire, le garage et l’espace ouvert sont rendus
habitables par la pose de baies vitrées, malheureusement ni à fleur du nu extérieur, ni
en retrait suffisamment prononcé (au moins 1 m) pour conserver l’esprit d’origine.
- Les murs présentent moins de fissures que la moyenne car ils ont été revêtu d’une “peau”.
Toutefois, en vieillissant, des infiltrations se créent à partir de l’acrotère et la dépose de
cette peau risque de poser problème.
- Cabane de jardin.
- Le jardin et la terrasse sont exemplaires du point de vue décoratif.
Isolée (dite Vrinat)
