Appel à toutes les compétences : historiens, architectes, urbanistes, paysagistes, étudiants pour travailler cette page. Il vous suffit de m’envoyer un message. Tous les travaux représentant le quartier actuel sont acceptés.
 
Plusieurs problèmes se posent à propos des Quartiers Modernes Frugès :
 
Comment rénover et certains aspects vont-ils changer ?
 
    - Un mur anti-bruit le long de la voie ferrée doit être construit. Mais quel aspect pourrait-il        
      avoir et faut-il en conséquence aménager le côté correspondant de l’avenue H. Frugès ?
      Ne pourrait-on utiliser le terre plain comme une aire de ballade arborée ?
    - Comment supprimer les cabanons sans pénaliser les habitants ?
    - Comment aménager la place du secteur B, supprimer la dangerosité d’un carrefour en
      croix, mieux utiliser cette surface au profit des habitants, objectif souhaité par LC (café,
      jeu de paume, arbres... ?
    - Comment intégrer des technologies d’énergie renouvelable dans ces maisons pour en
      diminuer le coût de gestion ?
    - Comment équiper les QMF pour accueillir les touristes avec le plus d’hospitalité possible
      sans gêner les habitants ?
    - Comment redonner aux espaces extérieurs l’allure désirée par LC et peut-être aussi leur
      utilité (potagers, vergers, fleurs et arbustes, clôtures ne faisant pas écran, ...)
      On pourrait commencer par rendre à ce quartier les contre-haies prévues par LC, qui
      avaient pour fonction de protéger les piétons, et de souligner la perspective. Si les
      habitants se limitaient à 1 voiture par foyer, et pouvaient garer leurs autres véhicules en
      sécurité sur un parking discret en bordure de la cité (au N°20 de l’avenue H. Frugès, la
      parcelle mitoyenne du poste EDF), ce serait un bon compromis. (voir dans le diaporama
      la rue Le Corbusier avec la contre-haie)
    - Comment garer 10 fois plus de voitures qu’en 1925 sans gâcher le paysage ?
    - Comment gérer le problème des arbres de la rue LC dont les racines défoncent les
      trottoirs et désorganisent les réseaux (le même trottoir accueille tous les réseaux et des
      liquidambars) ? Selon Wikipédia, le liquidambar peut atteindre trente à quarante mètres
      de hauteur, avec un tronc d’un mètre de diamètre à la base, en milieu naturel.
    - Comment aménager le tronçon de la rue Arnozan devant les zig-zags, vu que la voirie
      n’est pas assez large selon les normes (6 mètres + les trottoirs) pour accueillir des
      voitures dans les deux sens ?
    - Faut-il créer un sens de circulation unique dans la cité ? (voir projet dans diaporama)
    - Comment gérer l’écran minéral que constitue la barre d’HLM Arago-Châtaigneraie ?
    - L’écran végétal que constitue la propriété boisée de la rue Parmentier et qui constitue le
      fond de décor des arcades est-il vraiment protégé ad vitam æternam ?
    - Certaines maisons non conformes devraient-elles disparaître ?
 
    - La villa parisienne qui est érigée en lieu et place de la maison bombardée en 1942, à
      l’angle de la rue LC et de l’avenue  Frugès doit-elle rester au prix d’aménagements
      dispendieux (elle est inhabitée depuis des années), ou vaut-il mieux dépenser un peu    
      plus et reconstruire la maison originale, ce qui serait un vrai projet ambitieux du point de    
      vue culturel, touristique, technique ? (photos suivantes en 1926, aujourd’hui, projet 3D)
 
 
      Et si on reconstruisait la maison d’origine, ne pourrait-on utiliser les 600 mètres carrés de
      terrain pour construire des caves enterrées semi-collectives ?  Si des habitants formaient
      une société mixte avec la Mairie, ils en deviendraient propriétaires et pourraient sans
      regret démolir leurs cabanons impropres à conserver une bouteille de vin ! En Hollande,
      les solutions collectives apportent bien des solutions à pas mal de problèmes individuels.
      (locaux communs, véhicules collectifs, actions participatives...)(voir page “Chimère”)
 
      Mais comme la Mairie désire construire un CIAP (centre d’interprétation de l’architecture
      et du patrimoine), le sous-sol, s’il n’est pas employé en caves pour les habitants, peut
      aussi devenir le lieu de ce CIAP, hébergeant par la même occasion les oeuvres d’art que
      la municipalité ne sait où ranger. En somme, la maison serait le signal visible et le point
      d’entrée du CIAP, lequel s’étendrait dans tout le sous-sol.
 
    - Au cours des années à venir, des maisons de l’avenue Frugès, secteur A et B sur le plan
      général d’origine, vont changer de mains, être modifiées ou démolies. Vers la place du
      Monteil, un terrain vague au N° 4 de l’avenue Frugès, enlaidit celle-ci depuis bon nombre
      de mois. Ci-dessous la maison au 36 av. Frugès, bâtie sur le lot 48, sera bientôt à vendre,
      et la Zigzag à l’entrée de la cité est en vente actuellement (lot 70). Il faut les préempter.
      L’une parce que la ZPPAUP l’exige, l’autre parce que c’est le lieu idéal pour accueillir les
      touristes : vaste rez de chaussée qu’on peut rendre accessible aux handicapés, bureaux
      de l’office du tourisme à l’étage, une visibilité et une exposition telle que même la Mairie
      affiche cette maison pour illustrer son site internet. Il faut les acheter, quitte à se défaire
      de l’actuel maison municipale, le Gratte-ciel du 4 rue Le Corbusier, qui n’offre aucun de
      ces avantages et dont la restauration est loin de respecter l’authenticité. Le vrai musée
      devrait se trouver dans la Chimère reconstruite selon les plans d’origine. (La photo de la
      Zigzag bleue ci-dessous est celle utilisée sur le site web de la Mairie.)
 
 
      Ne faudrait-il pas un véritable plan d’aménagement pour ce secteur, qui oblige les futurs
      maîtres d’ouvrages à respecter une esthétique en accord avec la vision de Le Corbusier.
      Ne pourrait-on pas organiser un concours d’architecture ou soumettre le problème à
      l’imagination fertile des élèves des écoles d’Architecture. Bel exercice en perspective !
 
Les questions ne manquent pas !  Si vous avez d’autres idées à soumettre, n’hésitez pas !
 
Le Quartier actuel et futur.
Axonométrie
Étude de Polychromie
Axonométrie
Voirie
Maquette H.Frugès
au Musée
Futur Maison Municipale du Tourisme ?
Entrée de la cité par l’avenue H. Frugès.
A droite la Zigzag bleue à acquérir pour en faire un office du tourisme.
Vue sur la Zigzag bleue, gâchée par l’anarchie de la végétation et des panneaux.
A démollir
Après démolition et reconstruction.
A démollir
En fond de décor, les barres des cités Arago et Châtaigneraie. Arago devrait prochainement être “relooké”
Avenue H. Frugès
La masure et le terrain derrière le poste EDF devrait être intégrée pour offrir des solutions de parking collectif discret
Avenue H. Frugès : un mur anti-bruit doit être conçu le long de la ligne SNCF en respectant le cadre de la cité Frugès.
Avenue H. Frugès : la Zigzag bleue est hors champ juste à gauche
Esplanade de l’école maternelle : ma proposition d’aménagement en fera une esplanade conviviale tout en respectant la perspective de l’avenue H. Frugès.
Le chemin non entretenu
Etat des lieux Monteil.jpg
Proposition d’aménagement global
Proposition d’aménagement global
Proposition d’aménagement global
Proposition d’aménagement global
Vue générale finale 2.jpg
Lors de la plantation des contre-haies.
Les égouts ne sont encore que des caniveaux qui réduisent la largeur de la voirie.      © FLC
Vue entrée de rue Le Corbusier avec
sa contre-haie.
Etat des lieux à l’entrée des QMF : il faudra le remodeler dans un futur Unesco (voir ma proposition dans le diaporama qui suit)